1. |
Se tirer dans l'pied
02:57
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Il s’est tiré dans l’pied. À la quête du bonheur, du retour de l’ascenseur. Avoir tant à donner, mais peur de s’engager. Au pied du mur, le choix est dur. Il a lâché prise, poussé à la dérive comme un voilier à voiles déchirées. Poussé par un vent fort, soufflé par un vent mort, mais j’ai peut-être tort. Faudrait pas s’en faire, si tu y vois clair.
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2. |
La faute des autres
03:20
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On vieillit à chaque instant, tout en gardant notre coeur d’enfant, ce n’est pas tous les jours qu’on a vingt ans. Aucune raison d’être opprimé, juste des raisons pour avancer, la sagesse des uns raye l’ignorance des autres. Faut pas se rabattre sur notre sort, c’est pas toujours la faute des autres. On a souvent tort, mais on aime mieux vivre avec nos remords. Nos erreurs on peut les compter, mais nos échecs on peut les oublier.
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3. |
T'as bu ma 50
03:13
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Entends-tu la petite voix en dedans de toi qui te réprimande à chaque fois? Avec un verre de trop impossible de peser tes mots. Ton arrogance dérange, les paroles que tu lances ça enragent quelques gens. Les couteaux volent et voleront toujours bas. Dans l’amour, dans la haine, dans tous les cas. Faut s’habituer à tes commentaires. Il est difficile de te taire.
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4. |
En attendant ma dose
02:43
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Une veille à espérer, un lendemain sans combler l’essentiel de ton absence, le vide de ta présence. Entre hier et demain aujourd”hui se restreint. La vie n’est pas toujours rose en attendant ma dose. Incapable d’endurer les secondes qui s’écoulent, ces heures à sevrer incapable d’endurer le temps qui passe. Les lignes qui se dessinent enfin devant moi librement, comme le temps. Les lignes qui s’effacent encore devant moi lentement, comme le temps
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5. |
T'es pas ma mère
04:24
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J’ai encore la corde au cou. J’peux pas partir boire comme un trou. J’te tromperai pas avec l’Abitibi, juste avec ma bouteille de whisky. J’te tromperai pas avec le nord juste avec ma bouteille de fort. T’es pas ma mère. J’t’emprisonné dans tes histoires sans fin, tes contes de folies pas ordinaires. J’t’emprisonné dans tes histories sans fin, laisse moi un peu d’air dans cette aire malsaine. J’pars pas trois mois, mais juste sans toi. J’pars pour trois jours pas pour toujours. Il faut que tu lousse ma laisse, si tu veux que j’reste.
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